Periodismo verdad.

Dans mon rêve je ne pouvais pas dormir... je ne trouve rien de plus stressant que ça. Pour ceux qui aiment dormir et rêver, il y a là une sorte de paradoxe gênant. Quelques minutes avant, je t'ai envoyé un message, voir si tout allait bien mais comme d'habitude je n'ai pas eu de réponse. Normal. 
Je me couche encore une fois, ma soeur est là et depuis mon lit, en haut, je peux voir une photo sur le journal local qui est par terre, dans le journal local les gens aiment annoncer les événements de sa vie : morts, naissances, 15 ans... et vous? votre mariage... vous allez vous marier ce week-end, tout est prêt, puis vous racontez votre voyage de noces. Et sur la photo vous souriez. Évidemment. 
Votre voyage de noces est un peu bizarre, Jujuy, puis Londres... bizarre...
Alors je me réveille et je t'envoie un message "Soñé que te casabas".
Quand je me suis réveillée pour de vrai...

Coutances

Je marche à la fac avec des amis, tu n'habites pas dans cette ville, tu ne l'aimes même pas, mais toi et ton ami catalan, vous passez en vélo devant nous, tu me vois, tu salues avec ta main à mes amis, tu n'oses pas me regarder... tu t'arrêtes jamais, toi? 

Et moi je me demande encore "qu'est-ce que je suis venue faire ici...?"

Cuarenta y siete

"¿Qué me mirás así? ¿querés esperar a que se muera para quedarte con la casa?" me dijo Lois así como si nada, mientras le daba de tomar algo a la abuela Hada... yo obsrevaba sin entender demasiado, básicamente porque Hada está muerta hace varios años y tardo en darme cuenta de que es un sueño (como hasta que me despierto tardo). 

Antes de que aparezca una Hada encorvada en bata celeste (la honte!) Lois puso un líquido negro en una taza, se la dio, Hada tomó "eso" y la vimos retorcerse, sin escándalo, y morir... otra vez...




Oscar esta mañana me recordó que era domingo y no hay quiniela, así que no se copen tanto...