Et du coup tu apparais, depuis tout ce temps,
tu reviens... ça t’arrive parfois de le faire. Comment tu sais que je suis ici ?
Tu me poses des questions sur rien, tu me parles comme si de rien n’était et
moi, je te regarde, je te déteste… Toi, à quoi bon de venir me déranger, tu n’as
jamais suffisant, tu attends le moment précis où tout marche parfaitement bien
et tu apparais… tu m’espionnes, c’est bien ça ? Évidemment… Cette fois-ci
est différent (j’aime croire), alors, sans répondre aucune de tes questions c’est
moi qui demande ce que tu viens faire ici, qu’est-ce que c’est que cette maudite
perversion de venir devant moi, me poser des questions comme si de rien n’était…
tu es bien pervers toi, tu t’amuses à me faire souffrir, mais moi, je suis
tranquille, je ne souffre plus (j’aimerais bien ! je fais semblant…). Tu
ne dis rien, tu ne me regardes même pas. Je ne peux pas sortir de cette
cuisine, alors je t’ignore aussi. Je t’ignore et je prie de me réveiller bientôt.
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