martes, 18 de septiembre de 2012

Los clásicos nunca mueren.

Esperaba en la vereda de enfrente. Siempre espero enfrente, me gusta ver llegar a quien espero, cuando llegan y buscan pensando en mi impuntualidad, alguna sonrisa que sigue al encuentro... que des conneries.
"¡Qué cara está la cebolla!" j'ai entendu dire. Il était à peine quelques minutes après 8 h. 
"Los clásicos nunca mueren...", j'ai pensé en écoutant cette phrase infiniment utilisée dans ma faille.  En ce moment, je ne sais pas si mon cerveaux a envoyé le message, ni si mes lèvres l'ont obéit, mais j'ai (sou)ri. Il ne faut pas l'oublier, il était à peine quelques minutes après 8 h. 
On a échangé quelques mots, moi, je ne marchais pas très bien, alors, j'ai pris ce que j'allais chercher et je lui ai entendu dire : "te invito a tomar un café".
Je ne sais pas si c'était l'absurdité de ses mots, cette proposition, en sortant de sa bouche ou un nid-de-poule sur l'autoroute mais je me suis réveillée, un peu en riant, un peu confondue.
Je me suis rendue compte que c'était la dernière fois qu'on allait se revoir.

El corazon sobre todo by Estelares on Grooveshark

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