"¡Qué cara está la cebolla!" j'ai entendu dire. Il était à peine quelques minutes après 8 h.
"Los clásicos nunca mueren...", j'ai pensé en écoutant cette
phrase infiniment utilisée dans ma faille. En ce moment, je ne sais pas
si mon cerveaux a envoyé le message, ni si mes lèvres l'ont obéit, mais j'ai
(sou)ri. Il ne faut pas l'oublier, il était à peine quelques minutes après 8
h.
On a échangé quelques mots, moi, je ne marchais pas très bien, alors,
j'ai pris ce que j'allais chercher et je lui ai entendu dire : "te invito
a tomar un café".
Je ne sais pas si c'était l'absurdité de ses mots, cette proposition, en
sortant de sa bouche ou un nid-de-poule sur l'autoroute mais je me suis réveillée,
un peu en riant, un peu confondue.
Je me suis rendue compte que c'était la dernière fois qu'on allait se
revoir.
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